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« Le monde est dangereux à vivre non à cause de ceux qui font le mal mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire »    A. Einstein

L’expérience que mène actuellement l’humanité est un jeu qui mène vers la déchéance et la mort physique. Allons-nous foncer tête baissée contre le mur ou pouvons-nous envisager un renversement de la situation grâce à l’éveil de nos consciences ? Si nous ne pouvons changer le monde à coup de baguette magique, chacun de nous peut déjà rendre un grand service au monde rien qu’en étant bien avec soi même. Par le passé j’ai exprimé ma révolte par des sentiments de violence et d’agressivité envers ce système qui nous maintient en esclavage et détruit notre planète. Cette violence et cette agressivité n’étaient que l’expression de souffrances dont les racines se situent dans les blessures de l’enfance. Comme pour beaucoup d’entre nous, mon enfance a été marquée par les coups de matraque (coups de massue pour les plus rebelles) destinés à nous faire entrer dans le « moule ». Ce conditionnement social qui a fait de nous des êtres « comme il faut » nous a empêché d’ÊTRE avec en prime un enfermement dans un système de pensées limitées voire négatif .(peur) L’apprentissage de la véritable liberté et du bonheur qui fait partie de la trajectoire de vie n’est possible que si nous nous libérons des pensés limitées et redevenons pleinement nous mêmes. C’est une démarche d’écoute de notre être profond. Cette liberté signifie que nous devenons des êtres entièrement responsables. Je ne peux pas changer le monde si je ne me change pas moi-même. Notre extérieur sera le reflet de notre intérieur, aussi bien que sur le plan individuel que collectif. Méditer et envoyer de l’amour pour des transformations positives, c’est bien, mais ne faudrait-il pas aussi agir sur le plan de la matière ?

Le bulletin de vote est dans le caddy

Le consommateur a le pouvoir. Le boycott des produits issus d’une agriculture polluante qui dégrade les sols suffirait à affaiblir les multinationales de l’agrochimie. Dans une certaine mesure, chacun de nous est responsable par sa façon d’être et de consommer. Le respect de Mère Nature et de notre corps implique autant que possible une nourriture biologique et locale. Face au succès grandissant de la bio une nouvelle éthique est nécessaire pour éviter les dérives

Les clefs de la santé et du bonheur sont en nous.

Cessons de courir après les remèdes miracles et les poudres de perlimpinpin. Si certaines thérapeutiques ou remèdes peuvent apporter une aide ponctuelle dans certaines situations, il est important de prendre conscience que notre organisme est intelligent et qu’il a les capacités de se régénérer si on lui en donne les moyens.

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