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Selon l’autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa), l’aspartame est désormais un produit sûr, à consommer sans modération. On croit rêver.

Communiqué de presse de l’EFSA du 10 décembre 2013

Édulcorant de synthèse, découvert en 1965 dans les laboratoires SEARLE, l’aspartame n’aurait jamais dû être mis sur le marché. Les scientifiques de la FDA, avaient jugé que les études démontraient largement la dangerosité de cet édulcorant.

Les premières expériences faites sur des singes montraient de grands risques de malaises, d’épilepsie et de décès .

Le Dr John Olney, professeur de neuropathologie et de psychiatrie, est parvenu à prouver que l’aspartame provoque des trous dans le cerveau de jeunes souris.

L’aspartame a finalement été autorisé, en 1981, par un coup de force politique, doublé d’un évident conflit d’intérêts lorsque Donald Rumsfeld, le patron de SEARLE a rejoint la Maison Blanche au côté de Ronald Reagan.

Rumsfeld revendit l’entreprise SEARLE à Monsanto en 1985, avec des bénéfices conséquents,

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Les autorités européennes ont autorisé l’aspartame, en reprenant aveuglément la décision arbitraire de la FDA obtenue par la corruption et cela contre l’avis des scientifiques de l’agence américaine.

Comment peut-on prétendre assurer la protection des populations quand on sait que les études sont financées par l’industrie ? Selon des experts indépendants, l’aspartame est un véritable poison. Depuis 1995, la FDA aux Etats-Unis a officiellement reconnu 92 effets secondaires.

A part ça, tout va bien, l’aspartame a conquis le monde, malgré les nombreux signaux d’alertes sanitaires que les agences officielles continuent d’ignorer avec une unanimité suspecte.

L’aspartame (E 951) fait partie de la triste famille des excitotoxines, tout comme le glutamate monosodique (E 621). Ces excitotoxines sont neurotoxiques, c’est-à-dire qu’elles ont la triste capacité de détruire rapidement les neurones de notre cerveau en les excitant jusqu’à ce qu’ils explosent, comme l’a expliqué l’éminent neurochirurgien et nutritionniste américain, le Dr Russell Blaylock dans son livre : « Excitotoxins, The Taste that Kills » en 1994 (« Excitotoxines : le goût qui tue »)

Voilà un fait très intéressant puisqu’il ne faut pas que le brave peuple ait trop de neurones. En fabriquant un troupeau de moutons dociles, on n’engendre pas de révolutionnaires et surtout pas des “évolutionnaires.”

Tous ces neurotoxiques ajoutés dans les vaccins et ailleurs ne suffisent-ils plus ?

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