Les accidents de la route causant morts et blessés sont toujours des drames. Même si en France nous sommes passés en-dessous de la barre des 5 000 tués par an, ce chiffre est toujours trop élevé. Cependant il est dérisoire par rapport aux victimes d’une fausse science médicale au service de l’industrie pharmaceutique. Dans ce domaine, il est difficile de chiffrer le nombre de victimes vu qu’aucune statistique sérieuse n’est tenue et qu’au contraire un grand flou est entretenu.

Aux Etats-Unis, d’après les études menées par Gary Null, le nombre de décès dû à la médecine oscille entre 700 000 et 800 000 par an. Ce chiffre correspond à la chute de six avions Jumbo par jour. Dans ce contexte, le Dr Matthias Rath, a déposé une plainte le 14 juin 2003 au Tribunal Pénal International de La Haye, pour génocide et autres crimes contre l’humanité commis dans le cadre du “commerce pharmaceutique avec la maladie”.
Les accusés sont responsables de la mort de centaines de millions de personnes qui continuent de mourir de maladies cardiovasculaires, de cancer et d’autres affections qui auraient pu être prévenues et enrayées depuis de nombreuses années. Les décès prématurés de millions de personnes sont volontairement et systématiquement organisés au nom de l’industrie pharmaceutique et de ses investisseurs dans le seul but de développer un marché mondial du médicament pesant des milliards de dollars.

En France, pays champion en consommation de médicaments, le comité technique de pharmacovigilance reconnaît 18 000 décès chaque année dus aux médicaments soit presque quatre fois plus que les accidents de la route. Les médecins n’étant pas obligés de déclarer les causes exactes des décès, on peut conclure que les estimations ci-dessus ne représentent que la partie émergée de l’iceberg.
La France compte 145 000 victimes du cancer par an, soit trente deux fois plus de victimes que la route. Les décès par maladies nosocomiales représentent plus de trois fois le nombre de victimes de la route alors qu’il serait facile d’y remédier.
Dans le domaine de la santé, non seulement, les autorités ne cherchent pas à nous protéger, bien au contraire, elles font la chassent à tous ceux qui tirent la sonnette d’alarme et proposent des solutions efficaces.

Complice d’un système meurtrier qui lutte férocement contre toute découverte menaçant l’effondrement de son lucratif commerce avec la maladie, les autorités mettent beaucoup de zèle pour nous protéger des accidents de la route. S’occuper de la sécurité des citoyens est une aubaine lorsque cela génère de la peur et permet de remplir les caisses de l’Etat. Ainsi, l’automobiliste se voit de plus en plus surveillé par un appareil répressif constitué de robots et gendarmes soigneusement programmés.

Nos autorités avec leur vaniteuse prétention de s’occuper de notre sécurité, devraient immédiatement interdire les OGM, les vaccins dangereux, la chimie agro-alimentaire et médicale, les centrales nucléaires vétustes, etc…

Le bien-être de la population fait-il partie de leur préoccupation lorsque le chiffre de suicides, en constante augmentation chez les jeunes, représente près de trois fois, le nombre de décès par accident de la route ?

L’alcool et la vitesse tuent, certes, mais les conducteurs sous l’effet de médicaments, psychotropes particulièrement, représentent un danger quelque soit leur vitesse. Les accidents sont générés par l’inattention, vigilance atténuée par des situations de fatigue, stress, mal-être, mental hyper agité, etc…

Nous pouvons considérer que la majorité des conducteurs sont des gens conscients et responsables de leurs actes qui n’ont pas besoin de la peur du gendarme pour assurer leur sécurité et celle des autres.